Crédit image : WWE
Il y a quelques semaines, nous apprenions que le lutteur Enzo Amore avait obtenu un moment de répit maintenant qu'il a été libéré des accusations.
Licencié sans ménagement par la compagnie de Stamford, celle-ci s’était offusquée de ne pas avoir été avertie par le lutteur qu’une enquête était en cours contre lui pour ce type de fait. Cette raison aurait été celle qui aurait motivé le licenciement.
Enzo Amore a toujours défendu qu’il ne connût pas la nature de cette enquête avant de la découvrir sur les réseaux comme l’ensemble du public et de fait en même temps que son employeur. Une version qu’il a appuyée lors de son passage dans le podcast de Steve Austin.
Les rapports de police rendus publics vont dans le sens du lutteur, confirmant que celui-ci avait été mis au courant de son implication en même temps que tout le monde, ce qui est conforme aux dires de Amore.
Cette révélation met aujourd’hui la compagnie de Stamford dans l’embarras. En s’appuyant sur une raison fallacieuse, le licenciement pourrait être considéré comme caduc, laissant l’opportunité à Amore d’attaquer la WWE pour lui demander des explications et de l’argent.
Notons qu’il est interdit de licencier quelqu’un avant jugement.
La suite des rapports indique aussi que les événements qui ont amené la suspension de l’affaire sont tendancieux. En effet, les policiers n’auraient pu prendre contact avec la présumée victime, celle-ci séjournant dans un centre spécialisé de réadaptation. L’impossibilité de recueillir le témoignage de celle-ci aurait donc automatiquement stoppée les investigations. Notons qu'Amore n’a également pas été entendu dans l’affaire par la police.
