En 2016, Roman Reigns avait été mis à pied par la WWE après avoir enfreint la "Wellness Policy" de la compagnie. Depuis ces événements, le catcheur avait eu à cœur d'être irréprochable et de ne plus se doper. Malheureusement, en janvier 2018, il se trouvait encore une fois rattrapé par des histoires de stéroïdes, puisqu'un fournisseur épinglé par la justice avait cité le nom de Reigns parmi la liste de ses clients. Pourtant, cette "affaire" s'était tassée d'elle-même... jusqu'à aujourd'hui.
Dans une vidéo réalisée par Jon Bravo, le dealer Richard Rodriguez s'est exprimé au sujet de Josh Duhamel (un réalisateur). Ce dernier se fournissait en substances illicites auprès de Bravo. Sur l'extrait en question, le fournisseur interpellé est aussi rapidement revenu sur le cas de Roman Reigns, qui sera expliqué plus en profondeur dans une prochaine vidéo.
Une fois encore, Rodriguez affirme avoir des preuves de ses liens avec Roman Reigns, qui aurait été un de ses clients réguliers. Même si la superstar a réfuté connaître le dealer, de nouvelles accusations vont dans le sens inverse. Bravo a également mentionné qu'il était facile de contourner la "Wellness Policy" de la compagnie de Stamford en prenant par exemple des substances qui ne sont pas faites pour les hommes. C'est ce que Reigns aurait consommé pour passer à travers les mailles du filet. Il dit aussi qu'il est impossible d'être dans une telle condition physique sans se doper.
Bien évidemment, il s'agit uniquement des accusations de Jon Bravo et pour le moment, la WWE (et la justice) ne semble pas prête à prendre des sanctions à l'encontre de Roman Reigns. Il va falloir attendre des éléments plus concrets pour savoir si Reigns est coupable ou non.